“Nous, chauffeurs, avons porté plainte, nous nous sommes mis en grève, (…) mais malheureusement personne n’a écouté”, regrette Kostas Genidounias, leader grec du syndicat des conducteurs de train. Il a participé, mercredi 8 mars, à Athènes, à l’une des nombreuses manifestations organisées en réaction à une collision mortelle de deux trains dans la nuit du 28 au 1er février.euh Mars.
Un mouvement de protestation s’est propagé à la suite de cet accident qui a causé la mort de cinquante-sept personnes. La majorité des 350 passagers de l’un des deux trains impliqués dans la collision étaient des étudiants. Ce qui fait dire à Nikos, qui a manifesté à Thessalonique le 8 mars, que les jeunes “vivre par chance ces jours-ci”.
Le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis s’est engagé jeudi 9 mars à “la régénération de tout le pays” en matière de transport en commun.
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